
L’Uruguay, d’abord. La Celeste est passée par la petite porte pour se qualifier, mais Diego Forlan et ses copains, c’est du rugueux, du vicelard, du truqueur… L’immonde Dario Silva a certes raccroché ses crampons acérés, mais Diego Perez, le poète de l’AS Monaco est encore appelé régulièrement dans cette équipe, c’est dire. Ce sera un match à oublier pour les esthètes, et à gagner pour les Bleus.
Le Mexique, ensuite. Le bilan est a priori sans appel : 5 victoires pour la France et 1 nul. La sélection aztèque est vieillissante, mais la génération Rafa Marquez est rompue aux exigences du très haut niveau et a certainement gagné en roublardise ce qu’elle a perdu en flamboyance (ah, Cuauhtémoc Blanco et son coup du crapaud…). Bref, pas gagné non plus, d’autant que le Mexique a l’habitude de jouer en altitude et a pris celle de franchir le premier tour de la Coupe du monde.
L’Afrique du Sud, enfin. Les Bafana Bafana ne sont plus que l’ombre de la grande équipe qu’ils furent, à la fin des années quatre-vingt-dix. Mais le pays organisateur pourra compter sur le soutien d’un peuple fervent et - on ne le souhaite pas, mais… - sur la bienveillance coutumière du corps arbitral. Alors ? Alors, il faut espérer que le match du 26 juin, à Bloemfontein, ne sera pas décisif et que les Bleus auront fait le nécessaire avant. Mais pourquoi une telle image pour accompagner ce billet, me direz-vous ? A part le maillot bleu, il s’agit de rendre hommage au charme de Johanne Kervella, qui se vit refuser le titre de Miss France l’an passé malgré son sourire fondant et ses courbes enjôleuses. Mondofoot l'élit volontiers Miss (équipe de) France !
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